Chronique : 12 ans, 7 mois et 11 jours de Lorris Murail

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Une cabane perdue dans les forêts du Maine. C’est là que Walden est abandonné par son père. À partir de maintenant, le garçon va devoir se débrouiller pour survivre dans les bois. Avec pour seule richesse quelques boîtes de conserve, un livre de Thoreau et une carabine. À la fin de chaque journée, Walden note son âge sur une écorce de rondin. Douze ans, sept mois et quatre jours, au moment ou commence son apprentissage pour le moins étrange…

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Jamais à l’heure !

Depuis le temps que ce roman est sorti, et depuis le temps que j’en entendais parler (surtout sur la booktubosphère), je me demandais quand je le lirais. C’est donc en 2018 alors qu’il est sorti en 2015 que j’ai décidé de me plonger dans ce thriller jeunesse, qui clairement ne me laissera pas de souvenir impérissable.

Une écriture et une histoire vraiment spéciales.

Dans ce roman, il n’y a presque pas de dialogues. On est mis face à un jeune garçon qui doit survivre seul dans les bois sans croiser personnes pendant plusieurs dizaines de pages (voire même une bonne petite centaine). Le rythme est donc plutôt lent, et m’a souvent un peu coupé dans mon élan. J’aime les livres avec des dialogues, mais surtout qui sont dynamiques, où l’on ne s’ennuie pas, et là ce n’était pas le cas.

Je n’ai pas non plus accroché aux personnages, que ce soit Walden ou son père. L’un est antipathique tandis que l’autre regarde sa vie défiler sous ses yeux, ne se pose aucune question et se contente de faire tout ce qu’on lui demande comme un petit chien en n’oubliant surtout pas de geindre.

Il s’est cependant lu assez vite étant donné le fait qu’il ne fait que 300 pages, ce n’était donc pas la mer à boire.

Une fin que je qualifierais de bof.

En fait je crois que tout ce roman a été spécial. Du résumé, au développement du récit en passant par les dernières pages. La fin n’est pas mauvaise mais loin d’être géniale. Je n’ai pas compris grand chose à ce roman finalement, et encore moins comment certaines « coïncidences » arrivaient à se produire. J’ai trouvé le tout vraiment farfelu, ça ne m’a pas transporté.

Soit je l’ai lu vite, mais ça s’arrêtera là pour moi. Pas trop mauvais mais loin d’être bon.

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2 commentaires sur “Chronique : 12 ans, 7 mois et 11 jours de Lorris Murail

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