Chronique : Easy de Tammara Webber

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L’année commence mal pour Jackie : son copain, qu’elle avait suivi à la fac, l’a plaquée, ses amis se sont détournés d’elle, et son semestre semble plus que mal parti. A priori, ça ne pouvait pas être pire, et pourtant… Un soir, un mystérieux jeune homme la tire d’un très mauvais pas. Jusqu’alors, Jackie ne l’avait jamais remarqué ; désormais, il se trouvera constamment sur son chemin. Et si la simple vue de ce garçon suffit à éveiller des images qu’elle préférerait laisser enfouies à tout jamais, sa présence silencieuse n’en aiguise pas moins sa curiosité…

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Une relecture tout en douceur.

Il y a quelques années, j’avais déjà parcouru les pages d’Easy, quand j’étais dans ma période romance for ever. Je l’avais beaucoup aimé, mais j’avoue que, comme beaucoup de romance, il ne m’était pas resté aussi bien en tête que la plupart des romans que je lis. C’est donc après avoir lu Blackwing d’Ed McDonald, un livre qui m’a donné du fil à retordre  et qui m’a laissée la tête comme une pastèque que j’ai décidé de me faire une lecture douce et sans prise de tête.

Une nouvelle approche qui m’a surprise.

La première fois que j’avais lu ce roman, je l’avais uniquement regardé comme une romance, avec deux personnages principaux qui tombent amoureux, qui rencontrent des obstacles mais qui, au final, finissent ensemble malgré tout.

Hors, en relisant Easy, je me suis rendue compte de tous les messages plus ou moins cachés que l’auteure nous faisait parvenir, et j’ai été agréablement surprise.

Je n’ai pas retrouvé l’histoire d’amour, somme toute, même si je l’avais bien aimé, cucul la praline. Au contraire, j’y ai vu un texte engagé sur le féminisme et sur le fait que ce ne sera jamais la faute d’une femme si elle se fait agresser par un homme, et qu’elle mérite et doit pouvoir se défendre.

Des personnages décidés.

Ils ont tous leur caractère, et ça j’ai adoré. Mais celle que j’ai vraiment aimé et qui n’est pourtant pas une personnage principale, c’est Erin, la meilleure amie de Jacqueline. En effet, cette dernière a un caractère de feu et ne se laisse pas abattre. À chaque problème sa solution, et attention, il faut suivre le rythme !

J’ai aussi bien aimé Jacqueline (euh par contre, le prénom on en parle ?), même si je l’ai trouvé peut être un peu plus passive et « victime ».

Lucas est aussi un très bon élément dans ce roman, même si son style… c’est juste pas possible. Pour le coup, je me souvenais déjà qu’à l’époque j’avais eu de l’urticaire rien qu’à l’évocation de son physique (cheveux longs noirs, piercing à la lèvre, tatouages tribaux et SANTIAGS. Là clairement on m’avait perdu).

Le p’tit mot de la fin ?

Évidemment, ce n’est pas à cause du physique des personnages que ce livre n’est pas un coup de cœur. Mais si j’ai aimé relire cette romance, et encore plus la découvrir sous un nouveau jour, il lui manque ce je ne sais quoi pour qu’elle soit parfaite.

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