Chronique : Jusqu’à ce que la vérité nous sépare de Gillian McAllister

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Qui est vraiment l’homme dont Rachel porte l’enfant ?
Rachel est en couple avec Jack depuis sept mois, et enceinte de trois. Alors que Jack commence à peine à lui présenter ses proches, la jeune femme s’inquiète : elle l’a pris en flagrant délit de mensonge plusieurs fois et certains de ses comportements lui semblent vraiment étranges. Il reçoit des courriers et des mails inquiétants, sous une autre identité, refuse de conduire et de la laisser seule chez lui. Et si Jack Ross avait un secret à cacher ? S’il avait commis des atrocités ? Pour Rachel, il est temps de découvrir qui est vraiment le père de son enfant…
La future maman enquête sur l’homme de sa vie, avec l’aide de sa meilleure amie. Le doute qui la ronge rend un de ses propres secrets de plus en plus lourd à porter : Rachel a elle aussi un passé. Est-elle aussi fiable et innocente qu’elle veut le laisser croire ?

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Perplexité.

C’est le mot qui a qualifié mon premier sentiment lors de la fermeture du livre, il y a à peine quelques minutes.

Premièrement parce que, malgré le fait que tout le monde se borne à le placer dans thriller psychologique, je trouve que c’est ni plus ni moins une romance. Un peu sombre, certes, mais une romance tout de même.

Ensuite parce que j’ai détesté l’héroïne principale.

Pour moi cette fille est une vraie pimbêche qui se permet de juger et de vouloir tout savoir sur tout le monde alors qu’elle est loooin d’être parfaite elle-même. Je compatissais limite pour son compagnon, qui, comme on nous le dit au début de l’histoire, est censé avoir fait quelque chose d’horrible.

Le fait que je ne le met pas dans la catégorie thriller est aussi dû à la lenteur du développement de l’intrigue et de la mise en place de toutes les éléments qui font d’un roman un bon policier.

Pourtant, ne vous méprenez pas sur ce début de chronique qui comme ça, peut paraître légèrement assassin.

Des retournements de situation intéressants.

J’ai bien aimé ce roman. Gillian McAllister écrit vraiment bien et la fluidité du récit ainsi que la dynamique des dialogues nous fait tourner les pages très rapidement. Jevoulaistoujours en savoir plus et je me demandais, au final, comment l’histoire allait finir.

J’ai été surprise à plusieurs reprises, pourtant, il m’a manqué ce petit truc. Cette petite étincelles qui fait qu’on s’attache aux personnages et qu’on veut qu’ils vivent happyli ever after, et je pense que ça tient en parti à l’héroïne principale et à son caractère de mademoiselle je sais tout, je vais à la confrontation et de toute façon t’es qu’un con et moi une victime de la vie parce que même quand je fais mal, c’est justifié.

Bref, j’ai une dent contre cette Rachel.

Pour ce qui est de notre petit Écossais (bon déjà il est écossais ça lui fait un bon point), je l’ai bien aimé, malgré le fait qu’il soit quand même sacrément mythomane sur les bords.

En gros, bon roman, pas transcendant. Il m’a manqué ce petit truc pour que je l’apprécie à sa juste valeur. Je pense que si je l’avais lu dès le début en temps que romance je l’aurais vraiment beaucoup apprécié, mais qu’étant donné le fait que je cherchais ce fameux thriller pour lequel je l’avais pris, j’ai été déçue.

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