Au lycée, Liv et Vince ont vécu ensemble une passion intense. Mais au bout d’un an, le bad boy a brutalement quitté Liv et dévasté son cœur.
Sept ans plus tard, Vince est devenu une star de street-fighting. Avec ses yeux bleus et son sourire arrogant, il est plus fort et plus sexy que jamais. Toujours au bras d’une nouvelle fille. De son côté, Liv est à deux doigts d’obtenir le job de ses rêves, un poste de journaliste dans un prestigieux quotidien. Pour décrocher cette place, Liv doit mener l’interview d’un certain Vince Stone…
Entre les anciens amants, l’attraction se révèle plus puissante que jamais. Mais Liv pourra-t-elle accorder à son premier amour une seconde chance ? Ou va-t-elle, au contraire, chercher à se venger ?
Pour la reconquérir, il doit livrer le combat le plus difficile de sa vie.
Le New Adult, ça le fait toujours pas.
Vous savez quand vous n’aimez pas quelque chose et que vous retestez tous les ans pour être sûr et certain que vous n’aimez toujours pas ? Et ben moi c’est un peu ce qui se passe avec le New Adultet les romans de type Bad , Marked men et autres joyeusetés. Je me dis : oh arrête un peu ton char, on sait jamais, ça se trouve ça va devenir ton genre préféré.
Alors je reteste, et puis je me rends compte à quel point c’était une erreur, et ça n’a pas loupé avec The fighter for chancedeVi Keeland.
Rien d’innovant.
Ça commence toujours pareil. Au départ j’aime les personnages pas trop mal, rien de transcendant, mais ça passe. L’histoire me plaît bien, et l’écriture est assez fluide pour que je tourne les pages sans voir le temps passer.
Et puis d’un coup, tout arrive. Les clichés machos et sexistes me tombent dessus, la testostérone mélangée aux phéromones arrivent en un seul bloc et c’est comme si je me prenais un mur à 130km/h. Une vraie hécatombe dont je ne réchappe pas.
Une petite liste des clichés de base s’impose.
Mec musclé à la folie, attirant, qui sait se battre, ultra reconnu et qui a toutes les filles (toujours des pétasses les filles, attention), à ses pieds.
Fille ultra naturelle et pas un poil bimbo, presque « quelconque« , jusqu’à ce qu’elle se décide à mettre une robe moulante et alors là : bomba latina dans la salle, avec fesses et seins pile à la bonne taille.
En gros c’est toujours pareil, et il n’y a jamais de surprise. Pour moi on en a lu un, on les a tous lus, à quelques choses prêts.
De la lourdeur à n’en plus finir.
Et alors le pire, mon Dieu, c’est quand les scènes de sexes arrivent. Alors je vais essayer de passer rapidement dessus, parce que se plaindre d’une scène olé olé dans un roman new adult c’est comme se plaindre qu’il y aie des dragons dans un roman de fantasy, c’est un peu abusé.
Mais merde quand même ! Ils ont toujours un oiseau qui fait la taille d’un boa constrictor, des qualités innées pour emmener madame au 37ème ciel (rien que ça), madame qui est chaste mais quand même bonasse au lit (oui j’utilise des mots crus mais parce que là bas rien ne peut être juste doux ou apaisant, tout doit être dur et violent).
Enfer et damnation, on ne m’y reprendra plus !
Bref, vous aurez compris, ça ne l’a carrément pas fait pour moi. Une héroïne chiante qui couine tout le temps mais qui trouve ça normal de se faire traiter de la sorte par son copain, un mec complètement pété du ciboulot qui trouve ça tout à fait OK de parler à sa copine de la sorte et de toujours avoir envie de taper sur tout le monde.
Et qu’on ne me dise pas que y’a pas le choix et que ça doit être comme ça, parce que Travis dans Beautiful disaster il se bat et ça fait pas aussi kitch, nah !
Je n’arrive vraiment pas à comprendre tout l’engouement autour de ce genre et si vous aimez, pas de vexation, mais dites moi en commentaire ce qui vous transporte, histoire que je comprenne mieux l’affaire, ça m’intéresse vraiment !
