Une guerre contre le destin.
Une course contre le temps.
Taylor Montclair, une fille tout ce qu’il y a de plus normal, mène une vie sans histoire dans la petite ville de Woodbury, en Angleterre. Sacha Winters, un ténébreux garçon nimbé de mystère, habite à Paris.
Alors que Taylor est impatiente d’intégrer l’université d’Oxford, Sacha, lui, se contrefiche des études… et pour cause : il connaît la date exacte de sa mort, et celle-ci approche à grands pas.
La mort de Sacha entraînera la réalisation d’une prophétie ancestrale qui plongera le monde dans le chaos.
Taylor est la seule qui puisse le sauver. Mais ni elle ni lui ne le savent : ils ne se sont jamais rencontrés.
Une mer et plusieurs centaines de kilomètres les séparent. Des puissances démoniaques sont prêtes à tout pour empêcher leur alliance. Ils ont huit semaines pour se trouver et vaincre le destin.
Le compte à rebours commence maintenant.
Un livre qui trainait depuis pas mal de temps dans ma bibliothèque.
Je l’avais commandé sur momox pour la modique somme de 9€ et des brouettes. J’avais adoré le résumé qui promettait une sorte d’histoire d’amour autour d’une autre histoire plus sombre.
Et puis je l’ai commencé, et j’ai plutôt bien aimé. Et puis j’ai continué et le soufflet est un peu retombé.
Ça ne casse pas 3 pattes à un canard.
Premièrement, j’ai bien aimé les personnages mêmes si franchement, ils sont plutôt clichés. Vous savez la blonde avec des boucles indomptables (raaah, ces boucles indomptables, j’en peux plus), beauté qui s’ignore, rat de bibliothèque, bref.
L’histoire est plutôt bien menée, même si au final, j’ai eu du mal à réellement la trouver intéressante. Elle m’a un peu ennuyée, je n’ai pas été transportée comme je l’avais voulu et j’ai été déçue.
Un peu brouillon, et trop peu développé.
Je n’ai pas été fanna de « l’histoire d’amour« , qui au final est présente sans l’être mais quand même là (une sorte de coup de foudre que seuls les deux protagonistes concernés ignorent mais sont déchirés par leur amour blablabla).
J’ai aussi trouvé très ennuyant le fait que Taylor (notre petite blonde aux cheveux révoltés) soit directement douée dans son domaine, même en tout, à vrai dire. Elle est la meilleure (mais s’ignore, encore). J’avoue que cette chronique fait un peu procès, mais en fait ce n’est pas réellement tourné vers le livre en lui même mais les schémas qui y sont tellement connus et reconnus.
Tout n’est pas que négativité !
En revanche, j’ai quand même bien aimé l’histoire. Les pages se tournent plutôt vite et franchement, ce n’était pas désagréable à lire. L’écriture est fluide, légère. J’ai vraiment tourné les pages très rapidement et je pouvais m’enfiler une centaine de pages par jours sans vraiment m’en rendre compte (ce qui est assez énorme étant donné le fait qu’avec la reprise des cours, j’arrive à peine à lire un livre par semaine contre les trois d’avant).
Bref, une bonne lecture que je vous recommande, mais qui n’est pas non plus quelque chose d’extraordinaire. Je lirais le tome 2 car je l’ai, mais sûrement pas tout de suite.
