Noemi Vidal se bat pour l’indépendance de la planète Genesis, une ancienne colonie de la Terre, dans une guerre qui oppose depuis des années son peuple et les armées de robots terriens…
Lors d’une attaque-surprise, Noemi se réfugie dans un vaisseau abandonné où elle rencontre Abel, le prototype le plus sophistiqué jamais conçu. Abel devrait être son ennemi juré… mais la programmation de celui-ci l’oblige à obéir aux ordres de Noemi. Même si cela implique de combattre son propre camp, il devra l’aider à sauver Genesis.
Tandis qu’ils traversent la galaxie, Noemi comprend qu’Abel est plus qu’un robot… et ce qu’Abel ressent dépasse toutes les limites de la programmation.
Enfin, elle arrive en Français !
Aujourd’hui nouvelle chronique avec une auteure que j’affectionne particulièrement : Claudia Gray. Je compte d’ailleurs bientôt vous faire une chronique sur la trilogie Firebird qui est un petit bijou. Mais aujourd’hui, parlons de Génésis : Le défi des étoiles, publié aux éditions Castelmore.
Comme je vous le disais plus haut, j’adore l’écriture, ainsi que l’imagination de Claudia Gray. Et pourtant… grosse déception.
Un réel défi pour moi !
Autant j’étais très emballée à l’idée de lire ce livre (j’ai même abandonné ma lecture en cours pour me plonger corps et âmes dedans), autant je n’ai pas du tout adhéré. J’ai mis plus d’un mois à le lire.
Je ne sais pas si c’est l’histoire en elle même qui n’est pas franchement bien ficelée et ponctuée de beaucoup de longueur ou la manière dont l’histoire a été traduite. Il n’empêche que je n’ai pas réussi à accrocher, pour mon plus grand malheur.
Je n’ai pas aimé l’écriture (et je pense d’ailleurs acheter le roman en anglais parce que, ayant déjà lu du Claudia Gray, je pense vraiment qu’ici, c’est la traduction qui pêche, car je n’ai pas du tout reconnu la patte de l’auteure, si belle pourtant).
J’ai eu l’impression de relire une sorte de soap opéra mélangé avec Star Wars et Mulan. Et si j’adore ces deux films, je n’ai pas vraiment aimé le mélange plutôt explosif que ça a donné.
Tout semble trop cliché en terme de guerre spatiale et de nouvelles planètes.
Pourtant, je vous jure que quand j’ai lu le résumé, un amour entre un robot pas si robot que ça et une guerrière en plein dans l’espace je me suis dis : banco.
Et là le soufflet est retombé. Le début est assez chaotique et presque incompréhensible. Je n’ai pas réussi à ne pas m’ennuyer en lisant ce roman malgré les rebondissements qu’il peut y avoir. Tout est trop long et on attend le dénouement avec autant d’impatience que d’énervement, presque.
Pour ce qui est de la fin…
Je ne pense pas avoir aimé. Je suis dubitative en fait. S’il y a un second tome, alors elle pourrait me satisfaire. En revanche, si ça se finit ainsi, alors je suis vraiment dégoûtée que tout se termine comme ça. Si abruptement et avec un gros manque de réponses.
Bref, j’ai vraiment envie de racheter le livre en anglais car je n’arrive pas à croire que Claudia Gray écrive de cette manière. Les 3 romans que j’ai lu d’elle étaient si bien ficelés et étudiés. Avec des personnages tellement attachants des rebondissements à tout va sans jamais aucune longueur que je pense réellement que la traduction à pêché.
Parce que le résumé vend quand même du rêve, et que j’ai plutôt bien aimé, au final, les personnages ! Abel est vraiment sympa et Noémi pète le feu !
Ah une note très superficielle aussi mais je me dois de le mettre aussi : la couverture est à tomber.
Bon bon bon, je ne pense pas lire ce livre. Par contre, je ne connaissais pas l’autrice et tu me rends vraiment curieuse. Merci pour la découverte du coup.
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Avec plaisir ! Franchement comme je le disais dans la chronique j’ai la trilogie Firebird en cours et elle par contre elle est juste géniale ! Si tu peux lire en anglais, elle vaut vraiment le coup !
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