Titre : Thorngrove
Auteur : Cécile Guillot
Éditions : Lynks
Tome : 1
Pages : 269 pages
Type : Fantastique
Prix : 14,90€
#ISBN9791097434373
Thorngrove. Sa forêt d’épines. Son manoir abandonné. Sa légende noire. Ses jumelles maudites.
Lorsque Madeline débarque à Oakgrove et s’intéresse d’un peu trop près à Thorngrove, elle déclenche une série d’événements de plus en plus inquiétants. Et lorsque sa sœur est touchée, Madeline se demande quelles forces obscures elle a bien pu réveiller…
Un petit décalage avec la pensée commune.
Thorngrove fait parti de ces livres que j’ai ajouté à ma PAL sans vraiment savoir de quoi il parlait, juste parce que les gens l’aimaient bien. Si pour beaucoup de monde il a été un coup de cœur, hélas, je suis restée plus ou moins de marbre face à lui. Pas une mauvaise lecture pour autant, il ne m’a juste pas transportée et je n’ai pas réussi à accrocher, ni à l’histoire en elle-même, ni aux personnages.
Assez cliché.
J’ai levé pas mal les yeux au ciel à la lecture de Thorngrove. L’héroïne principale est clichée au possible (rebelle, un peu gothique sur les bords, avec un caractère de feu – pour ne pas dire de merde – et qui sait ce qu’elle veut tout). J’ai eu beaucoup de mal avec elle et je n’ai pas réussi à m’attacher.
Elle est égocentrique et hyper-controllante avec sa famille un peu comme si chacun devait écouter madame la reine. Pourtant, j’ai retrouvé en elle certains de mes traits de caractères quand j’étais ado (j’étais colérique et très impulsive comme elle, je ne vais pas m’en vanter, mais c’est un fait).
Du frisson ?
Oui et non. J’avoue avoir été mal à l’aise parfois et avoir eu quelques petits moments de gênes, mais rien qui ne cassait trois pattes à un canard.
Le point positif ? On a parfois un peu peur, on se pose souvent des questions (au niveau du suspens, même s’il y a des choses assez évidentes, on ne sait pas où l’autrice va jusqu’à la toute fin). Pour le coup le suspens est bien là ! J’ai aussi beaucoup aimé la mise en page qui sert vraiment le roman et les petits moments « journal épistolaire » même si ce n’est pas assez exploité à mon goût, encore une fois.
Le hic ?
Par contre, j’ai clairement trouvé la fin trop abrupte et presque bâclée. Comme pour ma dernière chronique sur l’Arrache – Mots, je déplore un manque approfondissement (lié encore une fois j’ai l’impression au nombre de pages).
J’aurais aimé que ce roman ait 150 pages à 200 pages de plus histoire de voir l’évolution des relations entre les personnages, leur caractère et leur passé plus développé, l’histoire plus approndie. Tout est un peu trop léger, superficiel.
Moi c’est pas le roman qui me tente le plus de la sélection du plib
Kin
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Ben moi non plus à la base mais vu que beaucoup de gens en parlaient en bien je me suis dis : bon ben pourquoi pas ? Mais finalement mouaish
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