Chronique : The Crime de Marie Rutkoski

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Gagner peut être la pire des malédictions…
Fille du général le plus titré de l’Empire, Kestrel a eu la faiblesse, alors qu’elle réprouve l’esclavage, d’acheter dans une vente aux enchères un jeune homme du nom d’Arin. Pire encore, elle a eu la bêtise de lui permettre de devenir son ami… et de laisser la ville entière s’en émouvoir. Elle n’a compris qu’au dernier moment son erreur, en découvrant l’impensable : espion aux ordres de son peuple oppressé, les Herranis, le jeune homme était là depuis le début pour la trahir, pour renverser le pouvoir.
À présent, tout a changé. Kestrel a été contrainte de lutter pour sa survie. Elle a vu ses amis tomber autour d’elle et a dû supporter la douleur de la trahison d’Arin – elle dont l’éducation entière lui souffle de tout faire pour se venger. Mais, quand il a fallu choisir son camp, elle a préféré, à son tour, l’impensable : sacrifier son bonheur pour celui des Herranis, céder à un terrible chantage qui la force à tourner le dos à Arin une bonne fois pour toutes. Elle est désormais la fiancée du fils de l’Empereur. S’ouvre, à la cour, un terri
ble jeu d’échec où Kestrel doit mentir à tout le monde, depuis le monarque – un homme sans pitié qui se délecte de la souffrance d’autrui – jusqu’à Arin lui-même, en passant par la masse des courtisans qui n’espèrent que sa chute.
Gagner sera-t-il pour elle la pire des malédictions ? Jeux de pouvoir, coups de bluff et pièges insidieux : dans un monde nouveau, né de l’imagination d’une auteure unanimement saluée pour son talent, deux jeunes gens que tout oppose se livrent à une partie de poker menteur qui pourrait bien décider de la destinée de tout un peuple !

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ENFIN !

Depuis le temps que je voulais lire ce second tome de la saga The Curse, la voilà enfin dans mes mains. Je le regardais décorer ma bibliothèque depuis quelques mois déjà, mais je ne voulais pas y toucher tant que le tome 3 ne serait pas sorti.

J’avais tellement aimé le tome 1 qui est un coup de cœur monumental, que je m’étais dit que je ne supporterais pas de rester sur ma fin avec le tome 2 sans avoir le 3 sous la main.

Oh Marie, si tu savais

Tout le bien que ton livre m’a fait ! L’écriture (même si je sais pertinemment que je lis une traduction), est juste extraordinaire. Et je pèse mes mots. Je suis emportée à chaque fois pas sa manière de manier le vocabulaire plus ou moins compliqué, en gardant un texte à la portée de tous.

Son écriture est presque poétique et je passe un moment de plaisir fou, en plus de suivre l’histoire avec attention, à me balader entre les pages de ses livres juste pour savourer sa manière de manier la plume.

Un deuxième coup de coeur ?

Même un coup de foudre oui ! Plutôt deux fois qu’une, je signe, et sans aucune hésitation. J’ai déjà hâte de me plonger dans le tome 3 qui, je le sais, sera une réussite. J’ai prévu de lire quelques livres entre les tomes 2 et 3 histoire de ne pas gâcher ma cartouche trop vite, mais ce n’est qu’une question de temps avant que je ne l’avale en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.

Des défauts ?

Je ne saurais en citer. Je suis peut être complèt

ement aveuglée par mon amour pour Kestrel, Arin et les intrigues de la cour, mais peu importe la manière dont Marie Rutkoski décide de développer son roman, je suis totalement in love de cette trilogie.

Je suis d’ailleurs déjà en train de me renseigner sur d’autres de ses écrits en espérant autant les apprécier que celui-ci.

Amen, Lumen.

Tout simplement parce que il est clair que Lumen arrive à

nous délivrer du contenu de qualité, et ce depuis quelques temps déjà. Il est vrai que je n’ai pas tout lu de leur maison d’édition (je ne dois compter en tout et pour tout qu’une petite dizaine de leurs livres), et pourtant je n’ai pas été déçue une seule fois (bon OK, peut être pour La couleur du mensonge qui, là, pour le coup était une amère déception, m’enfin, vu que j’ai l’impression d’avoir été la seule à ne pas aimer…).

BREF.

Du super bon, du ultra bon, du « j’aimerais tellement avoir s

on talent », et c’est tout, il n’y a pas à aller plus loin. Marie Rutkoski a de l’or au bout des doigts, et c’est une fille qui ne voulait pas du tout lire cette saga au départ qui vous le dit.

Foncez, plongez tête baissée et ne la relevée que quand vous aurez tourné la toute dernière page.

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2 commentaires sur “Chronique : The Crime de Marie Rutkoski

  1. Je dois justement commencer cette saga !! Tout comme toi, j’adore Lumen et à part The effigies, je n’ai jamais été déçu par cette maison d’édition. En plus pour moi, c’est vraiment la maison qui réalise les plus belles couvertures de livres ❤

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