Revenge can be its own poison…
Katiyana Nix was a princess but only wanted what every other little girl had—a mother to love and teach her and a father to care for her. Instead, she grew up lonely in the shadow of her mother’s death while her father was absent in his grief.
When she finally thought she’d found hope for herself and her father, it was in the form of her beautiful new stepmother. But Sula committed the most evil of betrayals, leaving Katiyana more lost than she had ever been. Alone and scared, she fled to the forest to live amongst the trees with other lost souls searching for their own safety.
When she crosses paths with the fiery King Lian, a man whose thirst for revenge against the evil queen has no end, her time of quiet peace is ended. His anger untamed, he aims to use the lost princess as a weapon to achieve his dark goals.
Katiyana must battle her own demons, as well as his, while she tries to save him from himself and her kingdom from the clutches of her stepmother.
Can she succeed in ridding the world of the evil queen or will Lian’s temper cause them all to burn?
Hello tout le monde ! Long time no see ! Aujourd’hui nouvelle chronique avec The Fire King de Amber Jaeger.
Il y a peu j’avais lu The Cold King de la même auteure, et ayant plutôt bien apprécié ma lecture, c’est tout naturellement que je me suis lancée dans ce second tome.
Si The Cold King était une réécriture de La Belle et la Bête, ici, on est plus sur l’histoire de Blanche Neige, clairement remasterisé !
Et j’avoue que je suis plutôt contente de ce roman ! J’avais beaucoup aimé The Cold King, et même si Blanche Neige est un des contes que j’aime le moins, j’ai préféré cette histoire au tome précédent.
Le Fire King, comme il est joliment appelé, ressemble un peu à Valanka, aka The Cold King, physiquement en tout cas. Il semble que l’auteure soit fanna des hommes grands et vraiment costauds, et j’avoue que ce n’est pas pour me déplaire. En revanche, j’avoue que parfois, c’est extrêmement cliché, et j’en ai un peu marre du gars de 2m de haut couplé avec la fille d’1m45 à peine (oui parce que si le garçon est grand, la fille est évidemment tellement petite qu’elle lui arriverait presque à la taille, si on lit bien).
En revanche, je suis enchantée par le caractère de la protagoniste principale. Trempé à souhait, elle est bien moins fade que Calia qui ne faisait que pleurnicher sur son sort. J’ai aussi trouvé que Lian (le Fire King, donc), était moins froid (normal vu son nom), mais aussi un peu moins « connard » (désolé pour l’expression), que Valanka, dans un certain sens.
L’écriture est fluide et légère par contre je suis vraiment déçue du nombre de fautes que j’ai croisé dans ce livre. J’en avais aussi vu quelques unes dans The Cold King, mais ici c’est le pompon, il y en a à presque tous les chapitres.
J’essaie de ne pas trop m’avancer, mais étant donné certaines informations de l’histoire, il me semble qu’il y aura d’autres tomes sur d’autres contes qui vont suivre, et j’ai hâte de connaître les suites !
Le bémol que je mettrais cependant à ce roman est la fin. Car si j’avais trouvé celle du premier tome plutôt original et peu attendue, celle de ce roman l’est un peu trop et j’aurais préféré voir un autre twist qui aurait été plus triste, mais beaucoup plus intéressant.
Bref, pas une lecture de dingue, mais quand même assez intéressante pour me donner envie de découvrir un peu plus de livres de cette autrice.
